Dunkerque rassemble
Merci Monsieur Marc Lavoine pour cette chanson d’un peu plus de 5 mn qui parlent des gens désarmés qui pleurent … à Dunkerque mais malheureusement aussi … partout dans le Monde.
(suite…)Merci Monsieur Marc Lavoine pour cette chanson d’un peu plus de 5 mn qui parlent des gens désarmés qui pleurent … à Dunkerque mais malheureusement aussi … partout dans le Monde.
(suite…)Et oui, nous sommes tous en train de nous retrouver devant une situation complexe créée par un monde qui ne sait plus où il va !
(suite…)Avec Jean-Paul Poincignon, le rédacteur en chef de l’époque, une ouverture était réelle sur le monde du disque dans SONO Magazine et il permettait à des centaines d’artistes inconnus d’avoir une tribune pour leurs supports.
Sans préservatif avec A Free K ou encore Frog Man, Samapaloo et Daba ou D. Jam quelques uns des produits issus de la période F-X Legleye.
Avec Jean-Paul Poincignon, le rédacteur en chef de l’époque, une ouverture était réelle sur le monde du disque dans SONO Magazine et il permettait à des centaines d’artistes inconnus d’avoir une tribune pour leurs supports.
A vous tous qui avez à ce jour entre 15 et 20 ans n’oubliez jamais que rien n’est impossible pour celui qui y croit et aussi… qui travaille.
Aujourd’hui, on replonge dans le passé avec le second volet des souvenirs du Guide des BPM.
C’était en 1988 et je faisais mes études de commerce. J’avais décidé de me démarquer en sortant le premier Guide des BPM que j’avais crée graçe à Christian Valezy qui avait inventé le DJ Computer et qui, sans même me connaitre m’en avait donné un exemplaire, encore un grand merci Christian.
Croyez moi si vous le voulez, du 10 au 13 Avril 1988, ce fut une période géniale car durant 3 jours sur le stand de Discosmash les ventes de Guide des BPM mais aussi celles des vinyles ont été mémorables, incroyables !!! Demandez à l’équipe de Discosmash qui était composée de François Xavier Legleye et de son frère Manu, Corinne et Michel Nachtergaele. Toute l’équipe se souvient de 3 jours de délire et plus 15.000 euros de ventes de vinyles (100.000 francs). Ils ne réalisèrent plus jamais cela!
Quant au Guide des BPM, les trois jours furent aussi un réel succès pour un projet innovant, inconnu du grand public trois jours avant: plus de 1.500 euros de chiffres avec des guides à 7 euros (50 francs). Si nous réussirent ce délire c’est gràçe, et je ne l’oublie pas, à mon ami Laurent Delcourt et à Jérémy Dewinter: Nous étions trois vendeurs fous.
J’ai une pensée pour Pascal Nègre que je croisais et avec qui je pu discuter durant ces jours et qui n’était pas encore ce grand pdg mais un salarié de je ne sais plus quel label. Pascal, si un jour tu le veux bien, je serai heureux d’être en contact avec toi si tu aimestoujours autant les gens plein d’idées. Mon tweet @Guide_des_Bpm
Aujourd’hui, le Guide des BPM continue à se vendre de par le Monde (des deejays).
Quels souvenirs que de retrouver, ces derniers jours, ces photos issues de l’interview que j’avais donné sur une radio du Nord de France de référence qui s’appelait «Fréquence Nord» devenue aujourd’hui… France Bleue Nord.
L’animateur vedette se nommait Tonton Sigismond (dont le nom à la ville est Dominique Pattou) et il avait une audience allant au delà de nos frontières, en Belgique.
Fréquence Nord avait pris le temps de communiquer sur le nouveau concept du Guide des Bpm qui permettait aux jeunes animateurs de faire des mixages au doigt et à l’oreille.
Ce jour-là, dont la date exacte m’échappe mais qui devait être en 1988 (date de la sortie du Guide), j’ai eu l’honneur de rencontrer un artiste qui fit danser tellement de monde: Gérard Blanc. Passant par un groupe d’enfer qui se nommait les Martin Circus, Gérard Blanc était ce jour-là sur Fréquence Nord car il sortait alors son nouveau single : Une Autre Histoire.
Je me souviens de sa simplicité et surtout de sa gentillesse: Il était à l’écoute des autres à tel point que lorsque je lui avais demandé s’il était ok pour faire une photo, de façon tellement simple, il pris la pose pour cette photo pleine de souvenirs et de fun.
Malheureusement, Gérard s’en est allé en 2009 donner de la voix dans une autre vie. RIP
Travaillant alors comme animateur & deejay durant les week-end avec deux de mes fabuleux cousins, Olivier et Bertrand, nous avions notre sono-mobile (remember «BOX Sound sonorisations») qui tournaient sur le Nord de France. En plus, nous étions depuis quelques années les Mc chez des traiteurs disposant de salles de réception comme par exemple Pierre Maes. Lors de nos prestations, nous avions toujours des jeunes (ou moins jeunes) qui se rapprochaient de nous pour savoir les méthodes, les trucs pour mixer nos vinyles. Des trucs qui permettraient de simplifier leurs taches de deejays amateurs (les cd n’étaient pas encore présents).
C’est alors que j’ai eu l’idée de mettre en place sur le marché, une innovation 100% française, le premier outil pour faire des mixages de façon simple à base des Battements Par minute : le Guide des B.P.M. allait naitre.
Pour cela, il fallait
–que je dispose d’une base de données de vinyle, c’était le cas.
–que je reçoive les nouveautés régulièrement: ce fut le cas en contactant les dizaines de labels indépendants qui existaient alors, ainsi que les quelques majors
–que je puisse comptabiliser aisément les BPM et pour cela il me fallait un calculateur de bpm de qualité : le fabuleux BPM COMPUTER de l’époque réalisé par une personne de qualité, un génial inventeur et surtout un homme attentif aux autres: mon ami Christian Valezy. Christian m’en offrit un modèle, une rolls qui fonctionne toujours !!!
Des heures, des jours, des mois de travail pour comptabiliser des centaines de titres et pour rechercher les singles qui me manquaient.
Je faisais presser le premier jet de Guide des BPM à plus de 2000 exemplaires mais il fallait maintenant le mettre à disposition d’un large public… le rêve… être au SIEL… comment faire ?
J’achetais mes disques depuis des années chez pas mal de disquaires car c’est dingue mais il y en avait des disquaires à l’époque et qu’est-ce qu’on y passait du temps et qu’est ce que l’on rêvait de pouvoir acquérir tous les vinyles qu’ils vous faisaient écouter. Parmi ces disquaires de renom, il y avait le leader incontesté qui se trouvait à Menin, Discosmash et son vendeur/gérant/producteur/compositeur/etc… j’ai nommé Bruno Van Garsse ou encore Michel Nachtergaele,
qui mit pas mal de grands artistes dans les starting blocks via son label Three Little Boys (Xavier Decanter, Fabrice Nyiri, Bertrand Bonnet, Joel Guidon, Fred Rister, etc..). C’est avec lui que je décidais de partir au SIEL, durant les 3 jours de Salon.
Une fois le Guide des BPM pressé, il me fallait aussi trouver des gars compétents pour m’aider à promotionner et surtout vendre ce nouveau guide innovant.
Merci encore à Laurent Delcourt qui, grâce à cette période commença, sa carrière dans le disque chez Discosmash puis comme boss de chez Records Mania et à Jérémy Wibart qui furent mes deux acolytes.
Je crois que tous les 3 nous nous souvenons de cette période géniale durant laquelle nous avons vendu des centaines de guides mais aussi et surtout durant laquelle le stand de Discosmash réalisé son meilleur chiffre d’affaires de tous les salons auquel elle participa. (grosses bises à Corinne, Michel et Manu).
Ah j’allais oublier un autre professionnel de la communication qui m’a aidé mais qui en a aidé plus d’un: Jean-Paul Poincignon, le rédacteur en chef de Sono magazine.
Voilà, les années ont passé et maintenant, nous arrivons en 2014 et le Guide des BPM revient en force avec un site où l’on va tous se retrouver autour des B.P.M. .
Ci-dessous quelques articles de presse de l’époque.
Déjà publiée en 2010, nous remettons en ligne « Il y avait des disquaires » avec une autre bande-son compte tenu qu’ Hunter and the hunted a été refusé.
En 1988, le Guide des BPM (Battements Par Minute) est crée et des milliers de deejays vont se le procurer afin de se faciliter le mixage des vinyles.
Le créateur du Guide des B.P.M. se souvient d’un des disquaires chez qui il achetait des centaines de disques et qui aujourd’hui… nous manque.
Ou sont nos disquaires comme Discosmash, Discoclub, DiscoKing, Discobox, etc… ?
Heureusement il y a encore Sono Music à Boulogne/mer.
Pensez à protéger les disquaires, une race en extinction car sans eux, vous n’aurez peut-être pas non plus le droit à la musique dans le futur… pensez-y …! … sans emplettes pas d’emplois et réciproquement!
Respect to Simple Minds & Michel & Bruno